Selon Land Matrix, les achats internationaux des terres dans les pays en développement se révèlent deux fois moins importants que ce qui était estimé jusqu’à présent. Cette base de données indépendante qui regroupe de nombreux chercheurs a ainsi enregistré un «réel ralentissement» du phénomène. Ce «néocolonialisme agraire», comme l’a qualifié le secrétaire général de la FAO Jacques Diouf, marque peut-être le pas.