Faut-il tenter d’améliorer ensemble le système actuel au risque de ne pas répondre aux nouveaux défis environnementaux et sociaux qui se posent à l’agriculture ? Ou au contraire, établir très clairement ceux-ci au risque, dans ce cas, de perdre en chemin bon nombre d’agriculteurs ? Discussion très argumentée entre Philippe BARET, professeur à l’Université Catholique de Louvain, spécialiste de l’agroécologie, et Maximilien ROUER, Secrétaire général de Terrena.