Les éleveurs algériens se plaignent : le lait en poudre importé est davantage subventionné que le lait cru produit localement. Ce n’est pas le seul paradoxe d’une filière en crise.
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publié dans Ressources le 13 mai 2009
Les éleveurs algériens se plaignent : le lait en poudre importé est davantage subventionné que le lait cru produit localement. Ce n’est pas le seul paradoxe d’une filière en crise.
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